jeudi 28 juillet 2011

Grèce - Jour 4 - Larissa


Jour 4 : journée plage ! Du coup, pas grand-chose à raconter si ce n’est que habituellement, si l’eau n’est pas au moins à 25 degrés, j’ai beaucoup de mal à plonger dans l’eau; ici, étrangement, je n’ai eu aucune hésitation.

 Plage superbe, temps bleu et clair, et beaucoup de monde sur cette plage où on s’est arrêté un peu au hasard au milieu de la route qui nous menait de Véroia à Larissa. C’est sur cette route, où nous avons à nouveau tenté le train, que nous avons rencontré une jeune fille qui à pu nous expliquer 2-3 trucs sur le train. Notamment qu’il y avait souvent des changements … et qu’on ne nous le disait pas toujours.

comme nos TER/RER, beaucoup de tags
Issue d’un programme ERASMUS, elle était contente de pouvoir travailler son français. Et nous content de parler autre chose qu’anglais J. Elle a également pu nous confirmer nos craintes : les gens sont moins sympas dans le sud que dans le nord, surtout à Athènes; et nous avons vécu pour le moment dans les coins les moins chauds de Grèce (!!!) …

Arrivés dans les temps à Larissa (après notre première pause plage du séjour bien sûr), nous allons y passer 3-4 jours normalement, en se baladant dans les environs, alternant farniente-plage et découverte-randonnée.

Théâtre de Larissa
Du coup je vais en profiter pour reparler de deux trois choses non encore abordées ici.

La toute première, c’est ces petits kiosques dont j’i déjà parlé à Thessalonique; on en a retrouvé tout au long de la route (plusieurs à Véroia, et deux à Vergina (qui ne compte qu’un supermarché, une pharmacie, un magasin d’outils, et pas moins de 12 cafés-snacks) ). Après investigation, voici leur nom : Peristelo. « Peri » pour périphérique et apparemment « stelo » pour vente. Littéralement « qui vend sur tout son contour ». Cela signifie qu’on en retrouvera partout en Grèce et c’est tant mieux (leur bouteilles d’eau fraîches à 50cents nous sauvent quotidiennement la vie !)

Vendeur de pêches ambulant
Ensuite c’est les marchands de fruits et légumes. Souvent on croise des pickups avec la remorque remplie d’un ou (maximum) deux types de fruits : melons/pastèques, pêches/brugnons, etc…
Ces pickups ont généralement, sur l’arrière du véhicule, un crochet soudé auquel, une fois à l’arrêt, le conducteur accroche une balance. Et ça y est, un primeur ambulant s’est créé. La première fois qu’on a vu ça à Thessalonique, j’ai un peu douté de la légalité de ce procédé (quand on pense au système de patente en place en France par exemple …). Mais comme on en a croisé plusieurs tout au long de la route, je me plait à croire que c’est, au moins dans cette région plutôt agricole de la Grèce, une pratique courante.


Demain je parlerais du dernier point, et pas des moindres : les repas à la grecque !!


À demain (on pense à vous sous nos 35-40 degrés à l’ombre)

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